Catégories : Hommes fessés
il y a 3 ans
La fessée que je vous raconte aujourd’hui est une fessée vue mais non reçue. Pour une fois, j’ai vu les fesses d’un copain rougir au lieu de montrer les miennes aux autres comme je vous l’ai conté dans mes différents récits.
J’avais une dizaine d’années et j’habitais un immeuble de banlieue. Nous avions l’habitude avec les autres e n f a n t s de la maison de nous retrouver dans la cour pour jouer. Il y avait dans notre bande trois filles et quatre garçons dont moi.
Nous étions dans notre période de parties de billes acharnées où nous tiquions calots et petits soldats. Cet après-midi de jeudi, jour de repos de notre vie d’écoliers, Jean-Pierre Dubois était en grande difficulté, voyant, à notre grande joie, ses calots partir un à un. La fenêtre du deuxième étage s’ouvrit. C’était sa mère qui l’appelait pour qu’il remonte réviser ses leçons.
« Jean-Pierre monte tout de suite ! Tu as ta leçon d’histoire à me réciter, dépêche toi ! »
« Attends un peu Maman, j’ai presque fini ma partie ! »
Le petit groupe le regardait surpris qu’il n’obéisse pas aussitôt vu le ton de sa mère.
« Bon allez vite ! On reprend la partie ! Je vais vous plumer, vous allez voir ! »
Ça c’est sûr que l’on allait voir, mais sûrement pas ce que prévoyait le pauvre Jean-Pierre. Il n’était pas le garçon le plus apprécié de la petite bande, orgueilleux il se croyait supérieur aux autres et prétendait faire tout bien mieux que les autres. Avec le recul, je pense que nous étions tous bien contents de sa mésaventure. Quelques minutes plus tard, la fenêtre s’ouvrit à nouveau.
« Bon ! Tu te décides à monter, oui ? J’ai encore tout le ménage à faire et je n’ai pas l’intention de passer une heure pour tes leçons. »
Catherine, la plus grande des filles, déjà raisonnable lui conseilla :
« Heu… Jean-Pierre, tu devrais monter, ta maman n’a pas l’air contente du tout. On continuera la partie quand tu redescendras. »
« Non pas question ! Je veux récupérer mes calots » lui rétorqua-t-il sèchement.
La partie reprit, mais pas longtemps, je peux vous l’affirmer…
La porte de communication entre l’escalier et la cour s’ouvrit avec fracas, nous faisant sursauter et tourner la tête dans un ensemble parfait. Mme Dubois venait de faire son apparition.
« Attends un peu mon bonhomme ! Je vais t’apprendre à monter quand je te le demande. »
Le visage de Jean-Pierre devint tout blanc. Il se leva vite, laissant ses billes sur place, pour se diriger vers sa mère. Arrivé à sa hauteur, elle l’attrapa par le col et le ramena devant nous. Il n’en menait pas large du tout. Nous le regardions de plus en plus intéressés de la tournure que cela prenait.
« Ah, tu ne veux pas monter quand je te le demande ! Ah, tu veux rester ici mon garçon ! Et bien on va rester ici et tu ne vas pas être déçu crois-moi ! Pour ne pas être monté tout de suite, tu l’aurais eue à la maison ta fessée. Eh bien t’as tout gagné, Jean-Pierre ! Ta fessée, je vais te la coller ici devant les copains et copines… et pour m’avoir fait descendre je vais te déculotter. C’est cul nu que je vais te l’appliquer ! »
Les mots de « déculotter » et de « cul nu » firent l’effet d’une bombe. Jean-Pierre, bouche grande ouverte, sans prononcer un mot, devint rouge comme une pivoine. La honte se lisait déjà sur son visage. Nous, on se regardait sans dire un mot. Les pensées traversaient nos esprits. Catherine devait penser « Ça, c’est bien fait pour toi ! Je t’avais prévenu tout à l’heure ».
Les deux autres filles devaient espérer voir aussi son zizi. Moi je me disais « Houa, une fessée déculottée ! Il va montrer ses fesses, on va les voir toutes rouges ».
Je pense qu’il ne pouvait s’attendre à aucune pitié de nous. Là, pas de cadeau, pas d’intervention de notre part, les e n f a n t s entre eux sont cruels. La fessée déculottée en public était la pire des punitions pour un e n f a n t , redoutée de tous, mais quand on se trouvait de l’autre côté, la regarder donner était un spectacle qui ne se refusait pas. L’effet de l’annonce passée, Jean-Pierre se mit à supplier sa mère, lui demander pardon.
« Maman, Maman non ! Pas la fessée, pas ici ! Non… non ! Pas devant tout le monde ! Pardon, pardon, je le ferai plus. Pardon Maman ! »
Ses jérémiades n’ébranlèrent pas sa mère : elle le prit par la main et le traîna vers le petit banc de pierre où elle s’assit et le mit face à elle. Elle l’agrippa par le pantalon pour le rapprocher d’elle. Jean-Pierre commença à faire une colère dont il avait le secret : il se mit à crier, à trépigner, faisant tout pour retarder l’instant fatal où il se retrouverait cul nu.
La concierge, attirée par le bruit, sortit de sa loge.
« Eh bien c’est quoi tout ce raffut ! Il fait quoi votre gamin à crier comme ça, y va rameuter tout l’immeuble. »
Mme Dubois, avec un beau sourire, lui répondit :
« C’est rien Mme Ganjin, ce petit monsieur fait sa colère parce qu’il va recevoir sa fessée déculottée devant tout le monde. Vous comprenez, cela fait deux fois que je l’appelle pour qu’il monte apprendre ses leçons et ce petit monsieur fait sa mauvaise tête en restant dans la cour à jouer aux billes. »
« Ah ben ! Ça vous avez ben raison ma brave dame, y’a rien de tel qu’une bonne fessée cul nu pour les remettre dans le bon chemin. »
La concierge se planta là, s’appuyant sur son balai aux premières loges (cela sans jeu de mots !) pour assister au spectacle du châtiment public. Jean-Pierre se mit alors à crier plus fort encore scandant des « Non ! Pas devant la concierge ! Non ! Non ! ».
Une fenêtre puis une deuxième s’ouvrirent, deux têtes sortirent.
« C’est quoi tout ce barouf dans la cour ? »
Mme Ganjin, en bonne concierge qu’elle était, s’empressa d’expliquer :
« C’est rien, c’est le drôle du deuxième qui va recevoir sa volée cul nu devant tout le monde. »
Cela commençait à faire sérieusement du monde pour voir une paire de fesses rougir.
« Continue comme cela Jean-Pierre à crier ! Donne toi encore plus en spectacle, tu veux que tout l’immeuble sache… Te regarde recevoir ta fessée ? »
« Non, Maman ! Non, j’veux pas ! »
« Alors tu as intérêt à te calmer tout de suite et à te laisser faire. Tu as bien compris ? »
« Oui Maman ! Oui ! »
Jean-Pierre chouinait maintenant, ayant de plus en plus de mal à retenir ses larmes. La main agile de sa mère farfouilla sous sa blouse et son pull. Clic, clic, clic, clic, les bretelles défaites, le gros bouton du pantalon défait à son tour, les petits boutons de la braguette, un à un, suivirent le même chemin. La concierge et nous n’en perdions pas une miette. Nos yeux brillaient, nous attendions tous le moment où il montrerait tout. Mme Dubois écarta les pans du pantalon qu’elle fit descendre à mi-cuisses. Des larmes commençaient à couler quand il apparut en slip.
C’était méchant de notre part, mais nous n’avons pas pu retenir des gloussements le voyant ainsi. Sa mère le coucha sur ses genoux et, sans pitié pour lui, descendit son slip sous ses fesses. Elle lui épargnait ainsi la honte du déculottage complet debout et l’exposition de son zizi. La concierge se mit à rire et à faire des commentaires :
« Le v’là cul nu… le v’là cul nu ! »
C’était à se demander qui, d’elle ou de nous, était le plus content de le voir ainsi. Mme Dubois croisa ses jambes dans la position dite « à la maman », ce qui fit rebondir un peu plus son gros derrière. Son surnom de Bouboule ne lui avait pas été donné pour rien ! Ça, c’est sûr, il y avait de la surface à claquer, sa mère que l’on savait sévère allait s’en donner à cœur joie. Sa main lui ferait peut-être mal à la fin, mais en tout cas pas aussi mal que les fesses de notre copain. Jean-Pierre pleurait déjà avant la première claque.
« Quel bébé ! Il n’est même pas encore fessé qu’il pleure déjà ! » pensai-je, moi qui faisait mon fier, bien content pour une fois de me trouver de l’autre côté.
Une fois bien installée, la fessée démarra. La main bien haute de la mère fouaillait alternativement la fesse droite et la fesse gauche. Les marques des doigts s’imprimaient déjà sur le postérieur de Jean-Pierre qui se cabrait sous les claques. Peine perdue pour lui ! Bien maintenu par la main gauche, la main droite continuait à le fesser méthodiquement. Les cris succédèrent aux pleurs, puis vinrent les braillements tant la fessée était forte et les jumelles cramoisies. Les claques mêlées aux cris et pleurs résonnaient dans la cour. Deux autres fenêtres s’ouvrirent. Si cela continuait ainsi, tout l’immeuble allait profiter du spectacle. Ses jambes gigotaient dans tous les sens. Sa mère le grondait pendant qu’elle le fessait :
« Je vais t’apprendre à obéir moi !… Me faire descendre pour venir te chercher. Mais tu te prends pour qui mon bonhomme ?… Tu crois que je suis à tes ordres et que je vais attendre que tu veuilles bien monter pour réciter ses leçons ?… Tu te crois dans un hôtel peut-être… Tu recommenceras ? Dis, réponds-moi ! »
Entre deux braillements et s a n g lots, il réussit à marmonner des « Pardon, pardon Maman ! Je le ferai plus, c’est promis ! ».
Sa mère lui asséna encore une dizaine de claques bien senties avant de remonter son slip sur des fesses écarlates et de le remettre debout. Sa figure était aussi rouge que son derrière, des larmes n’arrêtaient pas de couler sur ses joues. Son pantalon descendu à ses chevilles, il se passait les mains sur son slip pour essayer de calmer la cuisson de la fessée déculottée. Nous le regardions sans pitié, la concierge hilare s’exclama :
« Ça c’est une fessée ! Dame, on peut dire qu’on l’a bien vu rougir son cul. »
Elle reprit son balai, et vaqua à ses occupations, les fenêtres se refermèrent. Le spectacle était terminé. Mme Dubois reculotta complètement son fils, le prit par la main et l’emmena dans l’appartement en disant :
« T’as intérêt à les savoir tes leçons ! Crois-moi. »
Nous reprîmes notre jeu en mettant de côté ses billes.
Une chose est sûre : depuis ce jour, quand nos mamans nous appelaient pour nous faire monter, aucun, ni aucune de nous ne traînait dans la cour.
Par Henma
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